Bitcoin, l’actif le plus cher du secteur de la cryptographie, semble attirer l’attention du fonds de pension japonais. Le plus grand fonds de pension du Japon envisage de diversifier ses portefeuilles d’investissement, en se séparant des actifs traditionnels. L’information a été divulguée cette semaine par le Fonds d’investissement pour les pensions du gouvernement japonais (GPIF). L’attrait du Bitcoin ne passe pas inaperçu auprès du GPIF maintenant qu’il subit une hausse avec son prix fluctuant entre 66 000 $ (environ Rs. 54 lakh) et 73 000 $ (environ Rs. 60,5 lakh).
On estime que le GPIF japonais dispose d’actifs d’une valeur de 1,4 billion de dollars (environ 1,16,22,086 crore de roupies) sous son contrôle. Selon la société espagnole de recherche en investissements RankiaPro, le GPIF est le plus grand fonds de pension au monde depuis 2022.
À l’avenir, le GPIF explore les changements qu’il peut intégrer pour faire face à l’évolution du paysage financier. L’organisation lance un programme de recherche qui s’étendra sur cinq ans au cours duquel elle étudiera d’autres outils d’investissement potentiels considérables.
Le document du GPIF décrivant ses plans de recherche favorables au BTC, publié en japonais, indique que les actifs actuellement considérés par l’entreprise comme des actifs à gérer sont les terres agricoles, l’or, le Bitcoin, entre autres.
Jusqu’à présent, l’organisme disposait d’options d’investissement limitées dans les actifs traditionnels tels que les actions nationales et internationales et les obligations, dans le but de minimiser les risques financiers et d’assurer des rendements stables.
L’intérêt du GPIF pour l’exploration du Bitcoin comme option d’investissement résulte de demandes persistantes concernant l’inclusion de l’actif numérique, selon un rapport de Crypto.news.
Le marché de la cryptographie au Japon a connu une croissance notable au cours de la dernière année. Vers la fin de 2023, on estimait que plus de cinq millions de résidents japonais détenaient des crypto-monnaies.
Le gouvernement japonais, dirigé par le Premier ministre Fumio Kishida, adopte une approche favorable au secteur de la cryptographie. En janvier de cette année, la société japonaise de commerce électronique Mercari aurait annoncé son intention d’accepter les paiements Bitcoin dans les mois à venir.